de Satyajit Ray (Inde, 1958, 1h40, vostf)

Le Bengale dans les années 1920. Biswanbhar Roy, aristocrate, a passé l’essentiel de sa vie à assouvir sa passion pour les concerts donnés dans le salon de musique de son palais, par des musiciens, des chanteurs, des danseuses. Cette passion l’a ruiné alors que dans le même temps son voisin, bourgeois et nouveau riche, prospérait…

« Plastiquement très réussi, parsemé de scènes musicales fortes et très belle méditation
sur la vie, l’art et les passions, Le Salon de musique ressort … dans une version restaurée »

Carlos Saura (Espagne, 1976, 1h52, vostf)

C’est l’histoire d’Ana, 9 ans, confrontée au deuil après la perte de sa mère. Carlos Saura signe une œuvre qui brosse aussi le portrait politique de l’Espagne des dernières années du franquisme.

Le chef-d’œuvre de Carlos Saura est un troublant film sur l’enfance, dont le pouvoir de fascination ne s’est pas évanoui.